Grandir c'est naze.
Oui môssieur, grandir c'est naze.
T'as pas compris ? Tu veux que je répète ? GRANDIR C'EST NAZE.
(calme toi petite .. tiens prends un susucre et va faire tes devoirs)
Oui môssieur, grandir c'est naze.
T'as pas compris ? Tu veux que je répète ? GRANDIR C'EST NAZE.
(calme toi petite .. tiens prends un susucre et va faire tes devoirs)
Prises de conscience, problèmes, peur de l'avenir, peur de ce que je vais devenir, voir les autres avancer et se regarder stagner.
Ne pas vouloir affronter la véritable vie, on est tellement mieux dans ses chaussons que dans ce monde trop grand et effrayant.
J'ai pas honte de dire que j'ai peur. On nous lâche comme ça d'un coup. On nous prévient pas que ce sera aussi dur.
Je parle pour moi mais je ne dois pas être la seule dans ce cas.
Trop d'évènements d'un coup. Du haut de mes 1m57 je n'ai pas eu les épaules assez fortes pour supporter ce trop plein d'émotions. Ce trop plein de tout.
Lecture arrière, si seulement la vie était un magnétoscope tout serait tellement plus simple.
Je m'énerve de me voir essayer d'écrire alors que ce que je dis ne veut rien dire. Essayer de tourner cette phrase-ci ou celle-là de telle manière qu'elle soit correcte avec un semblant de poésie sonne faux dans ma tête.
J'essaie d'ordonner mes pensées de telles sortes qu'elles soient compréhensibles et qu'elles ne ressemblent plus à un bordel post-apocalyptico-dramatico-pharmaco-noixdecoco-cérébralo-ornythorinque digne d'un lendemain de soirée ou d'un laisser aller tellement marqué qu'on retrouve de la vie sous son lit, faute de pas avoir fais le ménage pendant 3 mois dans sa pauvre petite chambre. Flemme.
J'écris pour rien dire. Pour essayer de me donner un tant soit peu de personnalité, en utilisant des expressions que je ne dis jamais.
Je n'arrête pas d'effacer mes phrases pour ensuite les ré-écrire. J'ai mentit dans l'introduction, je me relis.
Ce que je dis n'a aucun sens, je ne sais même pas ce que je souhaite dire au final dans ce bout de texte ne ressemblant à pas grand chose.
Ca représente bien mon ressentit du moment : perdue. Ne pas savoir où aller, quoi dire, quoi faire, quoi penser. Remettre en cause le monde que je me suis construite les précédentes années et qui se sont justes casser la figure en peu de temps.
Remonter la pente, plus facile à dire qu'a faire. Sauf avec un tire fesses.
Ne pas vouloir affronter la véritable vie, on est tellement mieux dans ses chaussons que dans ce monde trop grand et effrayant.
J'ai pas honte de dire que j'ai peur. On nous lâche comme ça d'un coup. On nous prévient pas que ce sera aussi dur.
Je parle pour moi mais je ne dois pas être la seule dans ce cas.
Trop d'évènements d'un coup. Du haut de mes 1m57 je n'ai pas eu les épaules assez fortes pour supporter ce trop plein d'émotions. Ce trop plein de tout.
Lecture arrière, si seulement la vie était un magnétoscope tout serait tellement plus simple.
Je m'énerve de me voir essayer d'écrire alors que ce que je dis ne veut rien dire. Essayer de tourner cette phrase-ci ou celle-là de telle manière qu'elle soit correcte avec un semblant de poésie sonne faux dans ma tête.
J'essaie d'ordonner mes pensées de telles sortes qu'elles soient compréhensibles et qu'elles ne ressemblent plus à un bordel post-apocalyptico-dramatico-pharmaco-noixdecoco-cérébralo-ornythorinque digne d'un lendemain de soirée ou d'un laisser aller tellement marqué qu'on retrouve de la vie sous son lit, faute de pas avoir fais le ménage pendant 3 mois dans sa pauvre petite chambre. Flemme.
J'écris pour rien dire. Pour essayer de me donner un tant soit peu de personnalité, en utilisant des expressions que je ne dis jamais.
Je n'arrête pas d'effacer mes phrases pour ensuite les ré-écrire. J'ai mentit dans l'introduction, je me relis.
Ce que je dis n'a aucun sens, je ne sais même pas ce que je souhaite dire au final dans ce bout de texte ne ressemblant à pas grand chose.
Ca représente bien mon ressentit du moment : perdue. Ne pas savoir où aller, quoi dire, quoi faire, quoi penser. Remettre en cause le monde que je me suis construite les précédentes années et qui se sont justes casser la figure en peu de temps.
Remonter la pente, plus facile à dire qu'a faire. Sauf avec un tire fesses.
Aucun sens, 0, nada, queudal.
Welcome in my new world : Lost-Land, ne prenez pas de billets, il n'y à pas d'arrivée. Du moins pas encore. Il n'y a que des fautes d'orthographes.
PS : est-ce normale d'avoir l'impression de ne pas être la fille qui a écris ce texte quand je me relis ?